Cette expression, qui aurait été utilisée pour la première fois utilisé l'essayiste Michel de Montaigne en 1580, fait référence aux soirées passées à jouer aux cartes. Les pièces étant éclairées à la lueur des bougies, il était d’usage de laisser une petite participation financière au maître de maison pour les frais de "chandelle". Quand les gains d’un joueur au cours de la soirée ne couvraient cette participation, on disait alors "le jeu n’en valait donc pas la chandelle".
Une autre hypothèse, plus incertaine, fait référence à la durée des représentations d'opéra ou de théâtres qui était lié à la durée de vie des bougies. Il fallait réduire d'autant le texte afin que la représentation puisse se faire tant qu'il y avait de l'éclairage sinon "le jeu n'en valait pas la chandelle".
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