Face aux pressions du roi de France Louis XVI, ils firent serment de ne pas se séparer avant l’élaboration d’une Constitution. Ce serment est voté à l’unanimité moins une voix, celle de Martin-Dauch de Castille.
Le 23 juin, le tiers montre sa volonté de tenir son serment. Prenant la parole devant l’Assemblée, Louis XVI casse les décisions du tiers et interdit aux trois ordres de siéger en commun.
Le souverain parti, les gardes semblent vouloir disperser par la force les députés du Tiers qui refusent d’obéir. Quelques députés de la noblesse, dont La Fayette mettent la main à l’épée. C’est à ce moment que Mirabeau aurait prononcé la fameuse phrase, dont plusieurs versions existent: « Allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous ne quitterons nos places que par la force des baïonnettes ! »
Le roi capitule. « Eh bien, dit-il, s’ils ne veulent pas s’en aller, qu’ils restent ! » Le 27 juin, il ordonne aux privilégiés des deux autres ordres de se joindre au tiers, en une chambre unique.
Pour l’anecdote, c’est le député Guillotin, connu pour une célèbre machine à décapiter sans douleur les condamnés à mort, qui a indiqué la présence de la salle du Jeu de paume, non loin du château de Versailles.
Le roi capitule. « Eh bien, dit-il, s’ils ne veulent pas s’en aller, qu’ils restent ! » Le 27 juin, il ordonne aux privilégiés des deux autres ordres de se joindre au tiers, en une chambre unique.
Pour l’anecdote, c’est le député Guillotin, connu pour une célèbre machine à décapiter sans douleur les condamnés à mort, qui a indiqué la présence de la salle du Jeu de paume, non loin du château de Versailles.
Martin-Dauch de Castelnaudary...non de Castille.
RépondreSupprimerMerci pour le commentaire.
RépondreSupprimerJoseph Martin-Dauch est effectivement natif de Castelnaudary dans le Languedoc-Roussillon.
pas mal
RépondreSupprimer