Il existe plusieurs explications différentes sur l'origine de cette expression.
La première hypothèse est en rapport direct avec une pénurie de nourriture. Au siècle dernier, les élèves des internats se voyaient distribuer des haricots, aliment bon marché par excellence, en période de vaches maigres et quand on ne savait plus quoi leur donner à manger.
Autre explication. On disait au XVIIIe siècle dans la marine de France qu'on doublait le cap fayot quand il n'y avait plus de provisions fraîches et qu'on en était réduit à vivre de biscuits secs et de fayots. Sur les navires, la gestion des vivres se faisait dans l’ordre suivant : Produits frais et animaux vivant. Biscuit de mer des salés et fumés. Jambon et les haricots finissaient la cambuse (endroit du bateau où sont conservés les vivres). Le terme Fayot signifie en effet un haricot sec mais aussi un militaire de carrière. Fayot, et son dérivé fayoter, dans le sens de faire du zèle, viendrait de la conduite de certains marins pour être mieux servis en fayots durant les périodes de restriction de vivres. Quand toutes les provisions fraiches étaient consommées, les marins naviguaient "sous le Cap Fayot" et quand même les légumes secs commençaient à manquer, c'était la fin des haricots.
Certains feraient dériver le terme "haricot" de la recette du "hericot de mouton", un râgout de viandes, pommes de terre et de navets dans lequel furent incorporer des fèves de haricots pour remplacer d'autres légumes manquants.
Enfin, lors des soirée passées en famille, les mises des jeux de société ne se faisaient pas avec de l'argent, mais avec des choses diverses dont des haricots secs. Quand un joueur n'avait plus de haricots, c'était donc la fin de la partie.
La première hypothèse est en rapport direct avec une pénurie de nourriture. Au siècle dernier, les élèves des internats se voyaient distribuer des haricots, aliment bon marché par excellence, en période de vaches maigres et quand on ne savait plus quoi leur donner à manger.
Autre explication. On disait au XVIIIe siècle dans la marine de France qu'on doublait le cap fayot quand il n'y avait plus de provisions fraîches et qu'on en était réduit à vivre de biscuits secs et de fayots. Sur les navires, la gestion des vivres se faisait dans l’ordre suivant : Produits frais et animaux vivant. Biscuit de mer des salés et fumés. Jambon et les haricots finissaient la cambuse (endroit du bateau où sont conservés les vivres). Le terme Fayot signifie en effet un haricot sec mais aussi un militaire de carrière. Fayot, et son dérivé fayoter, dans le sens de faire du zèle, viendrait de la conduite de certains marins pour être mieux servis en fayots durant les périodes de restriction de vivres. Quand toutes les provisions fraiches étaient consommées, les marins naviguaient "sous le Cap Fayot" et quand même les légumes secs commençaient à manquer, c'était la fin des haricots.
Certains feraient dériver le terme "haricot" de la recette du "hericot de mouton", un râgout de viandes, pommes de terre et de navets dans lequel furent incorporer des fèves de haricots pour remplacer d'autres légumes manquants.
Enfin, lors des soirée passées en famille, les mises des jeux de société ne se faisaient pas avec de l'argent, mais avec des choses diverses dont des haricots secs. Quand un joueur n'avait plus de haricots, c'était donc la fin de la partie.
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