Le travail en perruque est l'utilisation du temps de travail ou des outils de travail par un employé pour effectuer des travaux qui ne correspondent pas à ceux pour lesquels il est payé.
Cette activité répond généralement à des objectifs personnels, et elle est parfois connue et acceptée par l'employeur.
Ce type d'utilisation détournée du temps de travail touche un large panel de secteurs d'activité et d'entreprises. Les grandes entreprises manufacturières sont concernées, particulièrement dans des domaines comme la construction navale, la construction automobile, ou l'aéronautique.
Il touche aussi par exemple le milieu informatique : ce type d'activité était par exemple relativement commune au sein de la compagnie Apple dans les années 1990, les ingénieurs poursuivant le développement de projets refusés par la direction, dans l'espoir d'une réévaluation.
Dans le métier de la pêche, il existe une pratique proche du travail en perruque, qui est "faire de la godaille". Le patron pêcheur laisse à ses marins les produits de la pêche, poissons, crustacés, coquillages qui présentent des défauts, une patte en moins, une araignée faible et qui ne seraient pas vendus à la criée.
Dans la presse il peut concerner les journalistes qui écrivent des piges pour d'autres publications sur leur lieu de travail.
L'expression "travailler en perruque", et le mot "perruque" pris dans le sens de travail fait "en douce", maquillé, datent du XIXe siècle. Ces expressions ont vraisemblablement un lien avec la perruque de faux cheveux, le postiche, mais l'étymologie du mot perruque est elle même incertaine, d'après Alain Rey.
Le mot "perruque" a lui même plusieurs significations, selon les métiers. Pour un coiffeur, c'est un postiche, pour un pêcheur, c'est une ligne emmêlée, pour un bijoutier c'est un amas de fil de fer sur lequel il soude, etc.
Le travail en perruque peut aussi s'appeler, d'après Étienne de Banville, "travail en sous-sol", "travail de la main gauche", "travail en douce", "travail masqué". Certaines régions emploient un autre terme à la place de perruque : "bricole" à Nantes et à Montbéliard, "casquette" à Tulle, "pinaille" à Sochaux-Montbéliard, etc.
Cette activité répond généralement à des objectifs personnels, et elle est parfois connue et acceptée par l'employeur.
Ce type d'utilisation détournée du temps de travail touche un large panel de secteurs d'activité et d'entreprises. Les grandes entreprises manufacturières sont concernées, particulièrement dans des domaines comme la construction navale, la construction automobile, ou l'aéronautique.
Il touche aussi par exemple le milieu informatique : ce type d'activité était par exemple relativement commune au sein de la compagnie Apple dans les années 1990, les ingénieurs poursuivant le développement de projets refusés par la direction, dans l'espoir d'une réévaluation.
Dans le métier de la pêche, il existe une pratique proche du travail en perruque, qui est "faire de la godaille". Le patron pêcheur laisse à ses marins les produits de la pêche, poissons, crustacés, coquillages qui présentent des défauts, une patte en moins, une araignée faible et qui ne seraient pas vendus à la criée.
Dans la presse il peut concerner les journalistes qui écrivent des piges pour d'autres publications sur leur lieu de travail.
L'expression "travailler en perruque", et le mot "perruque" pris dans le sens de travail fait "en douce", maquillé, datent du XIXe siècle. Ces expressions ont vraisemblablement un lien avec la perruque de faux cheveux, le postiche, mais l'étymologie du mot perruque est elle même incertaine, d'après Alain Rey.
Le mot "perruque" a lui même plusieurs significations, selon les métiers. Pour un coiffeur, c'est un postiche, pour un pêcheur, c'est une ligne emmêlée, pour un bijoutier c'est un amas de fil de fer sur lequel il soude, etc.
Le travail en perruque peut aussi s'appeler, d'après Étienne de Banville, "travail en sous-sol", "travail de la main gauche", "travail en douce", "travail masqué". Certaines régions emploient un autre terme à la place de perruque : "bricole" à Nantes et à Montbéliard, "casquette" à Tulle, "pinaille" à Sochaux-Montbéliard, etc.
joli blog
RépondreSupprimerbon continuation