En France, la numérotation des bâtiments est laissée à l'initiative du maire d'une commune dès lors que cette mesure est nécessaire.
À Paris, une première tentative de numérotation voit le jour sous Louis XVI. Sous la Révolution, la numérotation est faite par district, si bien que l’on arrive à des numéros très élevés (le 2 rue Garancière, dans le 6e arrondissement, conserve encore la trace du n° 1096).
Le système actuel a été établi sous Napoléon Ier, le 4 février 1805 : la numérotation commence au bout de la rue le plus proche de la Seine ou dans le sens du courant pour les rues parallèles à la Seine, avec les numéros impairs à gauche et les numéros pairs à droite dans le sens des numéros croissants.
La rue de Charenton, la rue de Reuilly et la rue de Picpus ont donc la particularité de ne pas suivre la convention habituelle de numérotation des rues parisiennes. Bien qu'elles soient parallèles à la Seine, les numéros croissent en sens inverse du courant. Si quelqu'un connait la raison :-)
À Paris, une première tentative de numérotation voit le jour sous Louis XVI. Sous la Révolution, la numérotation est faite par district, si bien que l’on arrive à des numéros très élevés (le 2 rue Garancière, dans le 6e arrondissement, conserve encore la trace du n° 1096).
Le système actuel a été établi sous Napoléon Ier, le 4 février 1805 : la numérotation commence au bout de la rue le plus proche de la Seine ou dans le sens du courant pour les rues parallèles à la Seine, avec les numéros impairs à gauche et les numéros pairs à droite dans le sens des numéros croissants.
La rue de Charenton, la rue de Reuilly et la rue de Picpus ont donc la particularité de ne pas suivre la convention habituelle de numérotation des rues parisiennes. Bien qu'elles soient parallèles à la Seine, les numéros croissent en sens inverse du courant. Si quelqu'un connait la raison :-)
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