Le slacktivisme (littéralement "activisme paresseux"), mot-valise formé par la fusion du terme anglais slacker ("fainéant") et du mot "activisme", est une forme de militantisme sur Internet qui s'est développé dans les années 2000 avec l'avènement des réseaux sociaux et qui consiste à cliquer pour participer à un mouvement collectif virtuel sans s'engager plus activement et concrètement. Les pétitions en ligne, le partage d'un tweet (re-tweet), le changement de sa photo de profil ou le like sur Facebook en sont des illustrations.
Ce cybermilitantisme porte d'autres vocables : clicktivisme, slackertivisme, fauteuil révolutionnaire, bénévolat virtuel.
Le slacktivisme est souvent utilisé comme terme péjoratif (il avait à l'origine une connotation positive) pour distinguer ce militantisme virtuel de canapé par lequel l'internaute se donne une bonne conscience à rabais alors que les personnes physiques pratiquant l'activisme IRL s'impliquent dans des actions concrètes.
Ce néo-militantisme est cependant considéré avoir eu une influence sur des événements comme l'affaire Kony 2012, Movember ou le Printemps arabe.
Ce cybermilitantisme porte d'autres vocables : clicktivisme, slackertivisme, fauteuil révolutionnaire, bénévolat virtuel.
Le slacktivisme est souvent utilisé comme terme péjoratif (il avait à l'origine une connotation positive) pour distinguer ce militantisme virtuel de canapé par lequel l'internaute se donne une bonne conscience à rabais alors que les personnes physiques pratiquant l'activisme IRL s'impliquent dans des actions concrètes.
Ce néo-militantisme est cependant considéré avoir eu une influence sur des événements comme l'affaire Kony 2012, Movember ou le Printemps arabe.
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