« Métro, boulot, dodo » est une expression inspirée d'un vers de Pierre Béarn (de son vrai nom Louis-Gabriel Besnard) du recueil de poésie Couleurs d'usine, paru en 1951. L'expression, ainsi que le poème, est une critique de la monotonie et la répétition d'un quotidien trop constant et vue sans issue possible.
« Au déboulé garçon pointe ton numéro
Pour gagner ainsi le salaire
D'un morne jour utilitaire
Métro, boulot, bistro, mégots, dodo, zéro »
Poète, romancier, fabuliste (360 fables à son actif), journaliste, auteur de récits de voyages, critique gastronomique et littéraire, Pierre Béarn mena une vie assez aventureuse avant de se fixer comme libraire à Paris où il fonda en 1934 la librairie du Zodiaque, située dans le Quartier Latin, 60 Rue Monsieur-le-Prince, qu'il dirigea jusqu'en 1981.
Il vécut jusqu'à 102 ans. Il s'est marié quelques mois avant sa mort, fin mai 2004, avec Brigitte Egger, à l'âge de 102 ans.
« Au déboulé garçon pointe ton numéro
Pour gagner ainsi le salaire
D'un morne jour utilitaire
Métro, boulot, bistro, mégots, dodo, zéro »
Poète, romancier, fabuliste (360 fables à son actif), journaliste, auteur de récits de voyages, critique gastronomique et littéraire, Pierre Béarn mena une vie assez aventureuse avant de se fixer comme libraire à Paris où il fonda en 1934 la librairie du Zodiaque, située dans le Quartier Latin, 60 Rue Monsieur-le-Prince, qu'il dirigea jusqu'en 1981.
Il vécut jusqu'à 102 ans. Il s'est marié quelques mois avant sa mort, fin mai 2004, avec Brigitte Egger, à l'âge de 102 ans.
Merci de dispenser le savoir , la seule arme que l'homme devrait posédé
RépondreSupprimerposséder*
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